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Culte des jeunes
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Un culte organisé par les jeunes de Caen et de 4 Eglises d'Ile-de-France

Ce dimanche 12 août, le temple de Caen résonne de chants, de musique et de témoignages lors d’un culte un peu particulier. L’Eglise protestante unie de Caen reçoit ce jour-là un groupe de jeunes d’Ile-de-France présents dans la région à l’occasion d’un camp d’été en Normandie. Accompagnés par le pasteur Noé Walter et une équipe de responsables, ces jeunes, issus pour la plupart des Eglises de Boissy-Saint-Léger, Saint-Denis, Vallée de l’Orge et Melun, ont préparé et mené le culte, pour le plus grand plaisir des paroissiens de Caen présents.
Pour le groupe, l’idée de venir assister au culte à Caen s’est rapidement imposée. « Nous avions le désir de rencontrer la communauté de Caen et l’envie de partager ce que nous avions vécu » explique le pasteur Noé Walter. Celui-ci prend alors contact avec Christiane Nyangono-Lecarpentier, pasteur de l’Eglise protestante unie de Caen, qui propose que le culte soit organisé conjointement par les jeunes de Caen et ceux du groupe. Ce fut un temps fort pour nombre d’entre eux, comme en témoigne Kristina, jeune allemande de 21 ans : « On a organisé le culte dimanche matin à Caen, avec beaucoup de témoignages de notre part. J’ai beaucoup apprécié les chants de louange. Chacun pouvait exprimer ce qu’il avait dans le coeur et le mettre devant Dieu. » Ce culte fut aussi l’occasion de mettre en avant le témoignage des uns et des autres. La déclaration de foi, habituellement lue lors du culte, a été construite comme un patchwork de phrases, écrites par tous les participants, et collées sur la chaire.
Jeunes du groupe et paroissiens caennais ont pu partager leurs impressions à la fin du culte autour d’un verre de l’amitié. « Nous avons pu échanger avec la communauté de Caen qui était très enthousiasmée par la joie des chants portés par de nombreux instruments sur des rythmes contemporains, et aussi par les petits témoignages de foi qui accompagnaient chaque moment liturgique » explique Noé Walter. Une paroissienne de Caen exprime aussi sa joie : « il faut que l’on trouve des guitaristes et plus de musiciens ! Nous, les têtes blanches, nous ne serons bientôt plus là, il faut qu’on se modernise ».